En effet mes périples dans les 3 macarons Michelin (dites « 3 macs » pour faire partie des ‘’initiés’’….) sont lus, voire dévorer, chaque année au moins 1 500 fois.
D’ailleurs, l’article le plus consulté depuis le début de mon aventure bloggeuse est celui en forme de compte-rendu complet d’un menu-dégustation chez Troisgros à Roanne.
Il est vrai que cette expérience épicurienne de mai 2009 à été fabuleusement marquante.
Il est effectivement passionnant de se trouver là où se passe l’actualité: la fabuleuse cuisson de ce tronçon de lotte rosé - chatouillé à l’épine-vinette, ce mezzaluna extra-terrien, cette selle d’agneau traité à l’équilibre-acide’tranché par le poivron et je jus, tout est furieusement juste et diablement bon. (je vous invite à relire l’article complet en suivant ce lien).
Il est effectivement passionnant de se trouver là où se passe l’actualité: la fabuleuse cuisson de ce tronçon de lotte rosé - chatouillé à l’épine-vinette, ce mezzaluna extra-terrien, cette selle d’agneau traité à l’équilibre-acide’tranché par le poivron et je jus, tout est furieusement juste et diablement bon. (je vous invite à relire l’article complet en suivant ce lien).
Autant vous dire que je suis content que cet article ait plu à autant de monde, qui plus est à mes lecteurs les plus illustres.
Mais cela avait commencez, très sobrement, déjà en 2008, par l’évocation d’un plat de cochon de la plus mythique des Auberge, celle des bords de l’Ill et de la famille Haeberlin.
Il s’agissait là d’un simple plat de cochon décliné, d’un pur régal-canaille, carré, joue, fritot de pied… L’évidence-même pour les adorateurs de cet animal, et ce plat, comme nombre d’autre en ce lieu, trotte encore dans ma tête.
Quand le classicisme est au service de la gourmandise, et que chaque bouché vous tire un râle (le plus discret possible) de plaisir, impossible d’oublier. (pour ceux qui veulent s’y replonger, voici l’article complet en suivant ce lien)
Et pour en savoir plus sur cette pierre angulaire de la grande cuisine française, je vous annonce pour les premières semaines de l’année qui s’éveille, un tentant petit compte-rendu d’un déjeuner pris dans cet Auberge de l’Ill il y a quelques semaines.
Et puis il y a la confirmation cette année, après nos deux jours passez en mode Love’n’Eat Altitude, chez ces chics paysans-cueilleurs-guérisseurs de St Bonnet, Régis & Jacques Marcon.
Un menu plus que complet, inspiré, qui se fond dans le décor et dans l’ambiance, pour créer un TOUT simplement parfait.
Ces souvenirs de langoustines des bois, d’omble chevaleresque et de morilles sculptées sont encore plus vivaces en suivant ce lien vers l’article complet.
A ce sujet je vous annonce également pour bientôt, quelques nouvelles photos d’un deuxième diner tout aussi délicieux, à mon goût peut-être même encore plus addictif.
Alors non, je ne suis pas qu’un bloggeur, voir qu’un bâfreur-3-étoiles, mais dieu que j’aime ça… Je fais chaque année (depuis 15 ans) entre deux et quatre dîners de ce standing, et ce sont ces moments qui étalonnent mes papilles.
Et pour en savoir plus sur cette pierre angulaire de la grande cuisine française, je vous annonce pour les premières semaines de l’année qui s’éveille, un tentant petit compte-rendu d’un déjeuner pris dans cet Auberge de l’Ill il y a quelques semaines.
Et puis il y a la confirmation cette année, après nos deux jours passez en mode Love’n’Eat Altitude, chez ces chics paysans-cueilleurs-guérisseurs de St Bonnet, Régis & Jacques Marcon.
Un menu plus que complet, inspiré, qui se fond dans le décor et dans l’ambiance, pour créer un TOUT simplement parfait.
Ces souvenirs de langoustines des bois, d’omble chevaleresque et de morilles sculptées sont encore plus vivaces en suivant ce lien vers l’article complet.
A ce sujet je vous annonce également pour bientôt, quelques nouvelles photos d’un deuxième diner tout aussi délicieux, à mon goût peut-être même encore plus addictif.
Cet article qui date de plus de 6 mois, est pourtant encore lus plus d’une centaine de fois chaque mois, et je suis plus que fier d’avoir attiré certains amateurs (dont d’autre bloggeur) dans cet antre à délices.
Bien sûr ce n’est à la seule lecture de mon article que ces hédonistes se sont laissez convaincre, mais force est de constater que cela rassure, cela tranquillise de voir à quel sauce on va être dégusté, surtout, et c’est bien compréhensible, à cause de l’addition finale qui s’envole souvent aux mêmes altitudes que nos sens.
Alors non, je ne suis pas qu’un bloggeur, voir qu’un bâfreur-3-étoiles, mais dieu que j’aime ça… Je fais chaque année (depuis 15 ans) entre deux et quatre dîners de ce standing, et ce sont ces moments qui étalonnent mes papilles.
Ainsi je peux ensuite descendre les étoiles, et même faire nombre de visite-gourmandes en des salles et à des tables bien plus modestes, y trouver du plaisir et y déceler la justesse; alors promis, en 2011 et hormis les deux articles déjà annoncés, je vais essayer de vous donner encore plus d'Envie, avec plus de ‘’simplicité’’ épicuriennes.