Finissons-en avec cette
croisière gastronomique de rêve au goût doux-amer « d’abus de bonnes
choses ». Et tant qu’à en finir, continuons sur notre lancée et allons
plus loin encore, avec ce dernier dîner tenu de main de maitre par des palaces
parisiens et de la Côte d’Azur, du temps où il y avait encore une majorité de
clients français dedans…
jeudi 26 février 2015
mercredi 18 février 2015
Chapeau bas pour ce magnifique Menu libre signé M.William Frachot !
Lors d’un détour heureux
de fin d’année dernière, j’ai enfin eu le temps - et les moyens - de m’arrêter
quelques heures dans les infréquentables venelles dijonnaises, goûter à la
cuisine de celui que j’avais repéré depuis une petite dizaine d’années,
aujourd’hui 2zétoilesmichelin : le Chef William Frachot !
J’ai mis du temps à vous
en faire le récit – beaucoup de travail en ce moment, merci à vous mes clients,
car sans vous, moins de liberté pour moi – mais vous allez voir que ça valait
le coup d’attendre : quel magnifique menu, quelle belle cuisine qui,
excitant les papilles et cajolant l’appétit, va droit au cœur.
jeudi 12 février 2015
Renaissance hédoniste : Vive le France ! Dîner du 7 décembre 1989
J’ai décidé de laisser
tomber le menu des dames du dîner du 6 décembre, non par misogynie mais parce
que, franchement, le plateau est bien moins passionnant que les autres, avec en
guest star une certaine Denise Fabre…gloups… ; le menu était beau tout de
même et on s’imagine bien goûter les gambas à la crème d’ail de Brigitte Huerta
sur un Carbonnieux 1983 et la grillettes (?!?) de canard au vinaigre et au miel
de Christiane Massia sur un Château Clinet 1975.
Alors, passons
directement à l’ode à cette région et à cet univers gastronomique et presque
philosophique qui me passionne et me réjouit les papilles depuis ma plus tendre
enfance, en route pour ce dîner Provence du 7 décembre 1989.
vendredi 6 février 2015
Renaissance hédoniste : Vive le France ! Dîner du 5 décembre 1989
En remontant à bord de
ce paquebot mythique, suite à une escale à Saint Thomas, un grand menu du
sud-ouest attendait ceux qui avaient encore faim de France.
La sélection des chefs était
moins intemporel que pour les autres menus : Daguin restera immortel dans
la région (parce qu’il le valait bien), Trama est toujours là, mais on a perdu le
souvenir de Coscuella et Vanel.
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