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mercredi 30 janvier 2013

Chablis 2008, Domaine Vincent Dauvissat, fondamental modèle

Ce vin provient d’un des vignerons du Top3 ou 5 de l’appellation,  alors avant de plonger plus loin dans les Chablis, il est fortement conseillé de se frotter à ce genre de bouteilles.



A l’ouverture la robe est plus couleur-or qu’imaginé, elle reste néanmoins totalement translucide et évoque le jaune des blés juste avant qu’ils ne sèchent. Le nez est sérieusement intense et compact, très végétal au début avant de s’ouvrir doucement sur la chair de fruits blancs style quetsche et pêche de vigne avant leur pleine maturité. La bouche, après une bonne charge d’acidité au démarrage, trouve un premier équilibre à peine 30 minutes après ouverture.


mardi 29 janvier 2013

Moment-épicurien à l'Arbre Vert, à Berrwiller, juste en photos


Pour ceux qui souhaitent plus de détails et ne peuvent se passer de textes, je vous invite à vous rendre sur le Blog des Etoiles d'Alsace, ou directement vers l'article du compte-rendu en suivant ce lien ICI.



















 Escalope de foie gras à la plancha, poêlée de cèpe, réduction de balsamique et raisin

jeudi 24 janvier 2013

Du partage d'un "petit plat pour l'homme"

Une fois n'est pas coutume, éloignons-nous des tristes contingences terrestres, stationnons dans la stratosphère et imaginons-nous en "épicurien sur orbite", en manque de goût véritable et de tous ces petits plaisirs qui rendent la vie plus joyeuse.

Pour ce faire, passons par l'animation, en l’occurrence celle de Corentin Charron, qui a la fin de ses études dans une cité gastronomique nommée Arles (souvenez-vous, l'été 2009,chez Rabanel, en lien ICI), a livré ce petit opus sur la "cuisine dans l'espace".    


Retrouvez ICI ce film sur Youtube ou LA, l'auteur sur son blog Onectin. 


lundi 21 janvier 2013

Château d'Aighuile 2007, Côtes de Castillon, justement bon


Pour se faire plaisir en bordelais, il ne sert plus à rien de rêver aux grands crus classés ni de dépenser un mois ou la moitié de votre salaire pour une bouteille à la classe évidente mais à l'appréhension-compréhension incertaine.
Surtout quand dans les petites appellations, en cherchant bien ou en se référant aux maisons sérieuses, on trouve des vins-immédiats qui remplissent leurs bons offices à chaque fois.

C'est le cas de ce vin à la robe foncée, rouge grenat ; à l'ouverture, le nez est prégnant, voir très puissant et évoque l'idée d'un mélange de mûre et d'encre de Chine. La bouche, elle, sait garder de la fraîcheur et un côté très agréable malgré les traces d'élevage qui la marque.

 Il n'est pas forcément besoin non plus de pister le vrai "millésime du siècle" quand on choisit les bons Châteaux (*) et ce 2007, même avec du temps pour respirer, ne s'en laisse pas compter.


mardi 15 janvier 2013

Le retour d'Emile Jung du Côté Four(neau)


On ne change pas une équipe qui marque et le ticket gagnant ‘’Emile Jung et Famille Nasti’’ est rejoué cette année pour le plus grand plaisir des gourmands de la région, qui après avoir encaissés les excès de fin d’année, sont désormais prêts à retourner se régaler.

Il faut dire que cette saison n’est pas la plus dynamique dans la région en matière épicurienne, alors ce festival est plus que bienvenu pour se remettre les papilles dans le bain.

Et pour ce faire quoi de mieux que le classicisme sur-maîtrisé d’un grand chef alsacien ? rien à mon sens, surtout si l’on se rappelle de cet aérien « Millefeuille de St Jacques et tourteau à l’avocat » ou ce fameux et noble coussin « Pieds et oreilles de porc truffés, sauce madère et cœur de chou brisé » dégusté l’an passé pour la même occasion.



L’entrée était  très simple et très belle, « avec un tourteau fort en goût mais qui s’agrège totalement avec une purée avocat doucereuse (douce/heureuse). Le tout est juste surmonté d’une simple corolle de noix de st jacques ainsi que d’une julienne de légumes croquants et d’allumettes du même métal. »


jeudi 10 janvier 2013

Un petit grand plaisir, en attendant la reprise


Parce que même en cette saison de peu d'appétit, on ne peut se passer de "bon", et que, quand bien même les blogueurs prolixes seraient atteints de sécheresse textuelle, ils ne peuvent s'empêcher de vous tenter.

Alors en attendant la reprise je vous propose de me suivre dans la dégustation de ce plat : Filet d'omble chevalier cuit meunière, cheveux d'anges croquants, écrevisses et jus de carapaces. Il fut celui d'un déjeuner symbolique en forme de parenthèse nécessaire et enchantée.

Ce plat servait surtout de faire-valoir à mon plus ancien millésime de cette cuvée que j'adore depuis pas mal d'années : Le Grand Cru Schlossberg 2000 du désormais fameux Domaine Albert Mann. 

jeudi 3 janvier 2013

Nouvel an au restaurant ? OK, mais pas n'importe comment !



Passer son réveillon au restaurant m’a toujours semblé être une idée saugrenue, surtout si  c’est un choix  par défaut et plus encore quand on a des ami(e)s sincèr(e)s et/ou une famille-lumière qui se réunissent par ailleurs.

Mais il faut avouer que cette année, si je n’avais pas eu mieux à faire, j’aurais très certainement craqué pour ce menu du 31 à faire défaillir plus d’un épicurien.
Cela se passait chez le très souvent (ici du moins) encensé Bistro des Saveurs, à Obernai.
Pourquoi aurais-je pu me laisser tenter ?


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