Pourquoi ce titre ?
Parce que je vais vous parler « rapidement » (à la sauce AntoineM) de
deux repas, faits dans ce restaurant-qui-surprend, deux repas datant du
printemps et de l’été, deux repas tellement bien dans leur saison qu’à lire ces
comptes-rendus épicuriens aujourd’hui, ils en auraient perdu de leur justesse.
Commençons par le plus
beau, celui de cet été, celui dédié au grand cru Zinnkoepflé, que j’ai fait
faire à ma mesure et que j’ai partagé avec « mes » deux associés et
co-auteurs de « mes » vidéos-vino.
C’était cet été, un vendredi comme on les aime, avec 4 bonnes heures de boulot bien intense et tendu (ahhh la création et ses débats) enchaînées avec 4 délicieuses heures (et plus) détendues et animées par une farandole de plats et accords divins.
C’était cet été, un vendredi comme on les aime, avec 4 bonnes heures de boulot bien intense et tendu (ahhh la création et ses débats) enchaînées avec 4 délicieuses heures (et plus) détendues et animées par une farandole de plats et accords divins.
On avait débuté au
salon, par quelques amusailles agréables-sans-plus mais assez justes en accord
avec le Sylvaner Z 2007 de Seppi
Landmann, un vin intense, avec un début d’oxydation qui se manifeste petit à
petit mais dont l’aromatique majestueuse efface tout problème.
Il gagne même en « épaisseur », il est plus rebondi ce vin après une demi-heure et fait un amusant compagnon de cette entrée faite de petits pois sous différentes formes et d’une brochette de sot-l’y-laisse à se damner. Le petit pois en mousse compacte était relativement discret en goût et c’est en cela qu’il était exact, la purée plus concentrée et le petit pois frais faisant remonter le tout. Les sot-l’y-laisse apportent la volaille, le jus, et le goût nécessaire pour se plaire avec ce vin.
Il gagne même en « épaisseur », il est plus rebondi ce vin après une demi-heure et fait un amusant compagnon de cette entrée faite de petits pois sous différentes formes et d’une brochette de sot-l’y-laisse à se damner. Le petit pois en mousse compacte était relativement discret en goût et c’est en cela qu’il était exact, la purée plus concentrée et le petit pois frais faisant remonter le tout. Les sot-l’y-laisse apportent la volaille, le jus, et le goût nécessaire pour se plaire avec ce vin.