Une fois n’est pas
coutume, votre blog d’informations et de tentations épicuriennes vous souhaite,
mes chers amis/clients/lecteurs, une bien belle année 2014, avec tout ce qu’il
faut de bonheurs, de délices et de partages, ce qui est, selon moi, le prélude
obligatoire à la santé, du moins mentale !
Je n’avais jamais fait
ce genre d’article-bateau, mais il convient, à mon avis, de tout mettre de
notre côté en cette nouvelle année pour sortir enfin la tête de cette eau
croupie dans laquelle on tente de nous plonger, de force, depuis tant d’années.
Et puis parce que pour beaucoup, semble-t’il, il devient totally has been de se souhaiter une bonne année et certains vœux,
je m’y colle, rebelle (de pacotille) que je suis…
Parce qu’à force de bonheurs et de délices partagés, comme avec ce dernier menu de rêve de 2013, mais aussi une simple volaille fermière grillée…on tiendra !!!
Grâce à de belles
charcuteries et des légumes de nos jardins (cultivez-le, autant que faire se
peut) aussi, alors en 2014, cupides et hygiénistes de tout poil, laissez-nous vivre,
travailler, manger, boire, rire et rêver…ceci est notre dernier
avertissement...
Malgré l’avalanche de
« mauvaises nouvelles » et polémiques que l’on nous impose sans
cesse, alors qu’en vérité elles ne nous concernent en rien, nous voulons garder
intacte notre liberté et notre volonté de créer notre vie, en la croquant,
avidement.
Ce monde voué
perpétuellement au pessimisme ambiant et au second degré vainqueur commence
sérieusement à me fatiguer, aussi, chers ami(e)s, je vous invite à vivre, vivre
pleinement en vous délectant de tous ces moments-épicuriens à notre portée.
Je l’ai déjà dit et
répété, pas besoin de 15 étoiles en un repas fantasmé pour se régaler, une
table solide et des appétits à l’avenant, et surtout, la/les bonne(s)
personne(s) autour, suffisent à mon bonheur, et au votre aussi, je le sais.
Pour retrouver
l’optimisme caractéristique du peuple de France, en 2014, vous pourrez vous
plonger dans un océan de grands rieslings d’Alsace ou un verre de Haut-Brion
1998, mais, aussi, dans quelques vers de pure poésie.
Vous pourrez surtout rêver,
comme l’enfant que vous êtes restés (si, si, cherchez), au retour du bon sens
et d’une certaine franchise, que notre pays magnifique redémarre, et qu’enfin,
on nous laisse de la place pour « entrer dans la carrière ».
(message à nos aînés, on
sait ce qu’on va y trouver)
Voilà mes simples vœux
pour vous tous, quant à ceux pour mes proches et d’autres qui peuplent mon cœur,
je les garde bien précieusement au fin fond de moi, superstitieux que je suis,
comme tout homme qui ne s’est pas laissé dévorer tout entier par ce modernisme
aseptisé et confus.
En 2014, épicuriens, ensemble
nous tiendrons ; alors du cœur de l’Alsace ou d’ailleurs, please, take your higher !
in elsass veritas
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