Réminiscence gourmande, un été sur les sommets...

De ces souvenirs à nouveau ancrés à grands coups de délices, on commence, sous ces beaux auspices, à festoyer la vie et le goût, à se nourrir d'un rien, d'un tout.


Le premier choc fut pour ce plat où le travail se fond dans une associations saisissante.

Langoustines parfaites, en salade croquante et craquante, aux émanations quasi sud', 'amériquaine, et pourtant dégusté sur les bords de l'Ill.



Mais l'été, c'est surtout un temps où l'on se régale du simple carpaccio-feuille, du veau en simplicité, enrobé d'une belle huile d'olive et d'un trait de jus de citronné.

Sur une terrasse saupoudrée de soleil


Ou à cette table en vue

On se délecte d'un Thon qui mérite bien sa pêche, à la fabuleuse cuisson assumée, mi croquant-mi rosé, punché par un coulis de poivron très juste, des échalotes chipsées et quelques coquillages à crus.

Et pour une plus apparente tradition, un joli coulis des bords de la méditerranée, oeuf mollé'serré, et rouille superbe, tout en présence et en légèreté.

Cet été qui se termine langoureusement fut celui de TOUS les bonheurs, la plupart d'entre eux, émotion personnelle inscrite au fer doux de mes souvenirs heureux, furent plus beaux que toutes ces douces saveurs

Mais que ce fut BON de surligner tous ces grands moments, par le plaisir du goût et des belles tablées...