Mes bons voeux épicuriens pour 2017

L’an dernier à la même époque je vous souhaitais, pour aller plus loin que le Grand Jacques (Brel, pas Mesrine) des rêves et des repas à n’en plus finir…je souhaitais inconsciemment ou pas, surtout, que l’Histoire se calme et que les traumatismes nationaux nous épargnent.

Comme ces derniers vœux pieux ne semblent pas prêts de se réaliser et que les barbares de toutes sortes et de toutes races ne sont sur cette Terre que pour nous bouffer l’existence, faisons fi d’eux et regardons juste au-dessus de leurs têtes mal-faites.

En 2017, je vous souhaite plus encore de délice et de partage, souvent plus de simplicité et de temps en temps, plus, toujours plus de félicité. La santé, le bonheur, et donc, l’épanouissement devraient suivre.

Pour ma part j’ai passé une superbe année 2016 et les actes dégueulasses de tous ces pauvres petits hommes et des quelques riches grands autocrates ont moins réussit à me miner, pourvu que ça dure. Professionnellement (quoi, vous ne connaissiez pas mes grands et petits secrets d’Epicure), ce fut une année formidable : c’est bien simple, je crois bien n’avoir jamais autant et jamais aussi bien et tellement agréablement travaillé de ma vie.

Malheureusement, le corolaire de tout cela (et la famille prenant à juste titre de plus en plus de temps également), c’est que j’ai délaissé mon petit Blog d’Epicure, comme tous ces lecteurs gourmands. Paaaaaaaaassssss bien ! L

Pourtant ceux qui me connaissent vraiment savent mon amour et mon besoin de partage et ce média est là uniquement pour ça…donc cette année, je vais devoir trancher, soit le garder en vie et publier autrement plus que ces 12 articles de 2016, cela va de soi, soit d’annoncer sa mise en sommeil, ce à quoi je ne peux me résoudre.

Je vais donc tout faire, chers lecteurs, amis, clients et plus encore, chers inconnus notoires, petits et grands amateurs et professionnels convaincus (en un mot pour le coup) pour publier plus. Publier plus pour partager plus. Publier plus pour vous donner plus encore mon « goût du meilleur ».

Pour cela je vais essayer (je dis bien essayer) de faire plus simple, plus court, ça va pas être facile mais je peux le faire, j’ai appris à le faire cette année, contraint et forcé.

Je vais donc essayer d’être plus concis, je me permettrais d’être moins « toujours ravis » et ainsi vous retrouverez quelques articles-flash qui égaieront vos heures perdues.

Mais de temps à autre, on n’se refait pas, rassurez-vous, vous retrouverez mes comptes rendus « à n’en plus finir », longs fleuves épicuriens et intranquilles, qui devraient arriver à vous projeter sur vos chemins gourmands.

Libértés !

Hasta la vida siempre